dimanche 31 octobre 2010

Entre rires et larmes: un bel hymne à l'amitié



Synopsis: A la suite d'un événement bouleversant, une bande de copains décide, malgré tout, de partir en vacances au bord de la mer comme chaque année. Leur amitié, leurs certitudes, leur culpabilité, leurs amours en seront ébranlées. Ils vont enfin devoir lever les "petits mouchoirs" qu'ils ont posés sur leurs secrets et leurs mensonges.

Je vais avoir du mal à parler de ce film car j'ai peur de ne pas trouver les mots pour dire toute mon admiration à ce grand réalisateur qu'est Guillaume Canet.

Guillaume Canet est mon acteur préféré depuis longtemps. J'aime son jeu, sa présence, sa prestance dans tous les films ou téléfilms que j'ai vu. Mais j'aime également le Guillaume réalisateur. D'ailleurs, j'ai vu toutes ses réalisations au cinéma, de "Mon idole" aux "Petits mouchoirs". Et je constate qu'il s'améliore de film en film et qu'il est aussi à l'aise dans les thrillers que dans les comédies dramatiques.
"Mon idole" était bien.
Avec "Ne le dis à personne", il nous avait montré qu'il pouvait faire aussi bien que les réals américains.

Et avec "les petits mouchoirs", il sait nous émouvoir, nous faire rire, nous faire pleurer. Il nous emporte dans cet univers de potes.

Ce film est un film magnifique. Que dis je, c'est The Movie of the Year. Enfin, pour moi.

Tous les acteurs sont au diapason dans ce film où chaque rôle ont été écrit, pensé rien que pour eux. De François Cluzet à Valérie Bonneton (que j'adore!) en passant par Laurent Lafitte (une révélation pour moi) à Benoit Magimel (mon acteur préféré dans ce film. Je l'ai adoré et je pense me pencher sur ses autres films à présent), sans oublier Jean Dujardin (son rôle à une importance capitale dans ce film. Il est présent tout le temps à notre esprit) et Joël Dupuch (qui est exceptionnel. Merci à Guillaume de lui avoir donné un rôle pareil, il m'a beaucoup touché par son naturel. Comme quoi, pas besoin d'être acteur pour toucher et émouvoir les gens)
Mais je n'oublie pas non plus Pascale Arbillot qui m'a émue par sa détresse, elle sent que son mari s'éloigne et elle se sent désespérée. Marion Cotillard m'a aussi émue.

Ce film de potes peut plaire à tout le monde car on se reconnait dans beaucoup de personnages. La force de ce film c'est qu'on sent que les acteurs ont pris du plaisir à tourner ensemble et à être dirigé par Guillaume Canet d'une main de maître. Étant acteur lui même, il sait comment faire pour avoir le meilleur d'un acteur.

Surtout, ne boudez pas votre plaisir et allez voir "les petits mouchoirs". Vous passerez 2H34 de pur bonheur. On peut penser que le film est trop long mais je vous assure, il n'y a rien à jeter dans ce film. Et même, je peux vous dire qu'après 2H34 de film, je ne voulais pas les quitter. C'est comme si il faisait parti de mes amis.

Un big coup de coeur pour ce film. Allez y sans tarder, vous ne le regretterez pas. Mais surtout, noubliez pas vos petits mouchoirs: vous en aurez besoin.


Les Petits Mouchoirs : bande annonce
envoyé par cloneweb. - Regardez des web séries et des films.

samedi 30 octobre 2010

Challenge New York en littérature



Normalement, je n'aime pas tout ce qui est contrainte en lecture, j'aime bien me laisser porter par mes envies. Donc, je ne suis pas très challenge. D'ailleurs je n'en fait pas(sauf celui que j'ai mis en place sur Tenessee Williams et qui n'a pas encore avancé d'un iota pour ma part).

Mais quand j'ai vu le Challenge New York en littérature sur le blog de Well-read-kid, je ne pouvais pas passer à côté.

Depuis toujours j'aime les romans, les films et les séries qui se passent à New York. Et j'ai pas moins de 10 livres qui m'attendent dans ma PAL et qui se déroulent à Big Apple.

Donc ce challenge est fait pour moi. Et en plus, il va jusqu'au 1er novembre 2011 et le but est de lire le plus de livres possibles en rapport avec la Grosse pomme. Normalement, d'ici un an j'aurai bien lu plusieurs livres en rapport avce cette superbe ville.

C'est donc parti pour un voyage fabuleux dans la "littérature new-yorkaise".

Et voici déjà la liste des livres qui sont déjà dans ma PAL:

L'homme qui rajeunissait: Jérôme Charyn
Manhattan story: Ethan Hawke
Et que le vaste monde poursuive sa course folle: Colum McCann
Les saisons de la nuit: Colum McCann
Souvenez vous de moi: Richard Price
Le café Julien: Dawn Powell
La poursuite du bonheur: Douglas Kennedy
Trente ans et des poussières: Jay McInerney
La belle vie: Jay McInerney
Le fric: Jean-Manuel Rozan.

Mais d'autre me font envie comme Le bûcher des vanités, American Psycho, La trilogie new- yorkaise ... et la liste est encore très longue et sans fin. C'est ça qui est bien!

mercredi 27 octobre 2010

Des demoiselles de Rochefort sous un parapluie de Cherbourg vêtues de peau d'âne

Voilà 20 ans, jour pour jour que Jacques Demy nous a quitté. C'était un réalisateur qui m'a fait découvrir et aimé les comédies musicales. Il avait cette faculté de nous transporter dans son univers coloré et souriant, sans que cela paraisse mièvre et gnan-gnan.

Je voulais lui rendre un petit hommage et quoi de mieux que de le faire en image et en musique.

Les parapluies de Cherbourg (1964)

(La particularité de ce film c'est qu'il est entièrement musical du début à la fin. Les personnages chantent tout au long du film. une première en France: une "experience cinématographique et musicale en somme.)


LES PARAPLUIES DE CHERBOURG CLIP CHANSON DENEUVE FILM DEMY F
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Les demoiselles de Rochefort (1967)


LES DEMOISELLES DE ROCHEFORT CLIP CHANSON DENEUVE DORLEAC FR
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La fameuse chanson des Jumelles. Qui ne l'a jamais fredonné sous sa douche où devant son miroir?


les demoiselles de rochefort (demy 1967)
envoyé par fandor91. - Court métrage, documentaire et bande annonce.

Ma chanson préférée du film avec le beau Jacques Perrin.


Les demoiselles de Rochefort - Chanson de Simon
envoyé par pitchbrioche. - Court métrage, documentaire et bande annonce.

Excusez du peu mais avoir Gene Kelly et George Chakiris deux stars du Musical américain est une preuve de confiance et de qualité pour Jacques Demy

Peau d'âne (1970)



La chanson du gâteau d'amour. Formidable!



La chanson du prince avec encore une fois, Jacques Perrin

Et pour finir ce billet, je voulais vous montrer un extrait du film musical, "Jeanne et le garçon formidable" avec Mathieu Demy, le fils de Jacques Demy. Ce film est un bel hommage aux comédies musicales du réalisateur.



Une prouesse de Mathieu Demy (c'est lui même qui chante) j'adore cette chanson!

Un film superbe qui me tire souvent des larmes.

Si vous ne connaissez pas l'univers cinématographique et musicale de Jacques Demy, n'hésitez pas à le découvrir. Vous passerez de bons moments.
Et moi, il serait temps que je découvre les autres films de Jacques Demy. Ses films ressortent en DVD. Il n'y a plus à hésiter.

Le culte de la beauté


Résumé: Tally aura bientôt 16 ans. Comme toutes les filles de son âge, elle s'apprête à subir l'opération chirurgicale de passage pour quitter le monde des Uglies et intégrer la caste des Pretties. Dans ce futur paradis promis par les Autorités, Tally n'aura plus qu'une préoccupation, s'amuser... Mais la veille de son anniversaire, Tally se fait une nouvelle amie qui l'entraîne dans le monde des rebelles. Là-bas, elle découvre que la beauté parfaite et le bonheur absolu cachent plus qu'un secret d'État : une manipulation. Que va-t-elle choisir? Devenir rebelle et rester laide à vie, ou succomber à la perfection?


Mon avis: Je ne pensais pas être autant emballé par un livre jeunesse. Depuis quelques temps, je me fait surprendre par les romans jeunesse et par ces auteurs qui écrivent pour nos chers petites têtes blondes ou adolescent.
Je me suis surpris à tourner les pages à une vitesse, voulant savoir à tout prix ce qui allait arriver à Tally. Tally, cette jeune fille que j'ai beaucoup aimé. Il faut dire que comme elle, j'allais de découverte en découverte. Et c'est un peu ça la force de ce roman: en mêlant aventures et explications sur le monde de Tally, l'auteur arrive à nous intéresser au devenir de la planète (car je n'ai pas oublié que les Rouillés, ce sont nous) et ce qu'il nous montre est effrayant.
Nous voilà transporté dans un monde où la beauté régit tout. Si tu es moche , tu n'es rien du tout et tu ne peux rien faire. Mais que veut dire la beauté où la mocheté. D'ailleurs, David trouve Tally belle car il la voit à travers les yeux de l'amour (je sais ça fait gnan-gnan de le dire comme ça mais que voulez vous je ne vois pas d'autre façon) alors qu'elle se trouve moche car la société l'a conditionné dès son plus jeune âge à penser comme ça.
Ce qui n'est pas le cas de David, un garçon qui est né en dehors du système et loin des villes par ses parents qui se sont enfuis...mais stop je m'arrête là de peur de trop en dire.

C'est un roman de SF passionnant de bout en bout (Oui, parce que ça se passe 200 ou 300 ans dans le futur). Scott Westerfeld maitrise son sujet et nous emporte avec lui. Et même s'il écrit avec un style fluide et assez facile à lire, il y a de l'intelligence dans ce qu'il raconte. Et ce qu'il raconte sur le devenir de notre monde est passionnant.

On sort grandit de ce livre, tout comme Tally qui va ouvrir les yeux au contact des Fumants et surtout de David et qui va prendre une décision lourde de conséquence pour la suite de sa vie...Mais chut, je n'en dis pas plus. Tout ce que je peux vous conseiller, c'est de vous plonger dans ce livre, si ce n'est déjà fait et je vous promet un voyage plein d'aventures. Pour cela, il suffit juste de tourner la première page...et c'est parti.

Bon, c'est pas tout ça, mais il faut que je retourne à Uglyville et New Pretty town pour retrouver Tally et tous ses compagnons.

Scott Westerfeld: Uglies (Uglies), France Loisirs,2007, 432 pages

mardi 26 octobre 2010

Hey Jude!



Synopsis: Une histoire d'amour dans les années 60, au coeur des manifestations anti-guerre, des voyages spirituels et du rock'n roll, qui part des docks de Liverpool vers le psychédélique Greenwich Village, des émeutes de Détroit aux champs de bataille du Vietnam.
Jude et Lucy sont plongés, avec des groupes d'amis et de musiciens, dans le tumulte des années anti-guerre et des révolutions culturelles, guidés par "Dr Robert" et "Mr Kite". Jude et Lucy sont la proie des forces tumultueuses qui secouent l'époque et vont les obliger à se trouver eux-mêmes pour se retrouver l'un l'autre...


Ce film est une pure merveille. J'ai passé plus de 2h à m'émerveiller devant ce film musical. Et tout ça je le dois à Tiphanie qui m'a offert le DVd lors du swap American Sixties.

Julie Taymor, qui a réalisé ce film (et qui a mis en scène la comédie musicale "Le Roi Lion) a eu la chance de pouvoir créer sa propre comédie musicale avec ce film. Et elle y réussi très bien. Le film nous montre parfaitement l'Amérique des sixties sur fond de manifestations anti- guerre, la guerre du Vietnam, le power flower qui pointe son nez. Et tout ça en s'aidant des chansons des Beatles.

les acteurs sont tous géniaux et en particulier Evan Rachel Wood qui campe une Lucy engagée, et Jim Sturges qui m'a également surpris dans le rôle de Jude (lui que j'ai découvert dans Las Vegas 21). Et les petites participations de Joe Cocker et Bono sont à souligner également (Surtout Bono dans le rôle du Dr Robert).

Mais ce qui a retenu mon attention ce sont les chorégraphies parfois psychédéliques habillant les chansons des Beatles. On sent que Julie Taymor s'est lâché et a été au bout de tout ce qu'elle a imaginé sans retenue. Et la scène de Mr Kite, avec ses mannequins géant est certes très bizarre mais fabuleuse d'inventivité.

Les bonus du DVD sont fantastiques également car ils nous montrent tout le processus de la création de ce film.

Et la scène finale sur All you need is love m'a tirée quelques larmes (j'ai un petit coeur tout mou que voulez-vous).

Je ne sais pas si je vous ai donné envie de le voir car je me rend compte que quand j'aime beaucoup un film j'ai du mal à trouver les mots pour en parler. Ce qui me frustre.

En fait, pour faire simple: si vous êtes fan des sixties, des States de cette époque là, des Beatles, d'Evan Rachel Wood, de Jim Sturges, ou tout simplement si vous êtes curieux, ce film est fait pour vous. (Je veux simplement signaler que j'ai vu ce film en VOST et c'est encore meilleur! Mais je pense qu'il est disponible aussi en français. C'est ce que j'ai cru voir sur Amazon).

Ce n'est que du bonheur.

Et je voudrais terminer ce billet en disant un big big big MERCI!!!!!!!!!!!!!!!!! à Tiphanie. Tu peux pas savoir comme tu m'as fait plaisir!


Across the universe bande annonce
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samedi 23 octobre 2010

Beloved ou la malédiction de l'esclavage


Résumé: Vers 1870, aux États-Unis, près de Cincinnati dans l'Ohio, le petit bourg de Bluestone Road, dresse ses fébriles demeures. L'histoire des lieux se lie au fleuve qui marquait jadis pour les esclaves en fuite la frontière où commençait la liberté. Dans l'une des maisons, quelques phénomènes étranges bouleversent la tranquillité locale : les meublent volent et les miroirs se brisent, tandis que des biscuits secs écrasés s'alignent contre une porte, des gâteaux sortent du four avec l'empreinte inquiétante d'une petite main de bébé. Sethe, la maîtresse de maison est une ancienne esclave. Dix-huit ans auparavant, dans un acte de violence et d'amour maternel, elle a égorgé son enfant pour lui épargner d'être asservi. Depuis, Sethe et ses autres enfants n'ont jamais cessé d'être hantés par la petite fille. L'arrivée d'une inconnue, Beloved, va donner à cette mère hors-la-loi, rongée par le spectre d'un infanticide tragique, l'occasion d'exorciser son passé.

Mon avis: Pour tout vous dire, je ressors de cette lecture un peu sonné. Et je me suis aperçu qu'il m'avait fallu près de dix jours pour le lire. Alors, je vous rassure, j'ai aimé ce livre mais j'ai toujours du mal à entrer dans le style et l'univers de Toni Morrison.
Le livre est parfois déstructuré, passant du présent au passé dans le même chapitre, ce qui ralentissais un peu ma lecture au début. Puis je suis rentré progressivement dans ce roman au sujet dur mais nécessaire pour comprendre ce que fut l'esclavage. Les personnages ont une telle force qu'ils ne nous laissent pas insensible. Sethe est celle qui m'a le plus touché et j'ai compris son geste envers son enfant. Elle ne voulait pas le laisser vivre dans un monde dominé par les blancs. J'ai souffert avec elle quand Beloved est revenu d'entre les morts pour la faire souffrir. Malgré qu'elle soit victime dans cette histoire, je n'ai pas aimé Beloved et son acharnement envers sa mère.

Ce roman teinté de fantastique est un voyage difficile dans ce monde esclavagiste. Et ce que j'ai également aimé, c'est de lire une histoire sur l'esclavage écrit par un écrivain afro-américaine. Lire et entendre les mots qu'elle écrit est magnifique. Toni Morrison à une plume et un style qu'on n'oublie pas et qui nous marque pour longtemps. Et ce roman mérite son prix Pulitzer car c'est un très fort témoignage sur l'esclavagisme. Un roman qui laisse une petite trace au fond de nous.

Extrait: Beloved, elle est ma fille. Elle est à moi. Voyez. Elle est revenue à moi de son plein gré et je n'ai rien besoin d'expliquer. Je n'ai pas eu le temps d'expliquer avant parce qu'il fallait faire vite. Vite. Il fallait qu'elle soit en sécurité, et je l'ai mise là où elle le serait. Mais mon amour était coriace et, maintenant, elle est revenue. Je savais qu'elle reviendrait. Paul D l'a chassée, alors elle n'avait pas d'autre choix que de me revenir en chair et en os. [...] Personne n'aura plus jamais mon lait en dehors de mes propres enfants. Je n'ai jamais eu à le donner à qui que ce soit d'autre - et la seule fois où je l'ai fait, il m'a été pris- ils m'ont maintenue par terre et ils l'ont volé. Le lait qui appartenait à mon bébé. (p 278)

Toni Morrsison: Beloved (Beloved), 10/18, 1989, 380 pages

jeudi 21 octobre 2010

Nuit Comédies Musicales

Bon, je sais, je suis un peu en retard pour en parler puisque cela a eu lieu mardi mais mieux vaut tard que jamais.

Lundi matin, en écoutant Europe 1, j'ai appris que dans la nuit du lundi 18 au mardi 19 octobre 2010, il proposait une nuit comédies musicale retraçant l'histoire de ce genre, et ce pour la sortie prochaine de "Mamma mia" au théâtre Mogador.
Et là ce fut le drame car l'émission était diffusé de 1h à 4H30 du matin! Mais j'ai quand même écouté cette émission qui fut sensationnelle pour tout fan de Musicals.

Entrecoupés de beaucoup de morceaux musicaux, Thierry Geffrotin nous raconte l'histoire de ce genre qui fait les belles heures de Broadway et d'Hollywood.

De ShowBoat (1927)



à American idiot (2009)



en passant par Top Hat, Wizard of Oz, Le Roi lion, Chantons sous la pluie, Mary PoppinsLa mélodie du bonheur ou The Mis (les Misérables) (et bien d'autres).

J'ai même appris que l'une des prochaines comédies musicales à Broadway serait Spiderman (musique de Bono et mise en scène par Julie Taymor qui avait déjà travaillé sur "Le roi Lion").

La comédie musicale version française n'a pas été oublié de Starmania à Notre Dame de Paris en passant par Les demoiselles de Rochefort (magnifique, avec une intervention de Michel Legrand expliquant la genèse des demoiselles) et Roméo et Juliette (celle ci on aurait pu s'en passer).

En fait, ça m'a surtout montré le fossé qu'il existait entre les français et les américains de ce point de vue là.

Ce fut une nuit magique et magnifique qui m'a mis de bonne humeur et qui m'a donné la pêche. Malheureusement elle n'est pas rediffusée sur le site d'Europe 1 (et c'est bien dommage car j'aurai bien voulu la garder).

Mais dans quelques semaines devrait sortir un livre magnifique de Patrick Niedo (un spécialiste de la comédie musicale qui est intervenu dans l'émission pour nous donner les significations de quelques termes techniques liés au Musical): Histoires de Comédies musicales.



(Le cadeau idéal pour tout les amoureux des comédies musicales).

Et je terminerai ce petit billet par le moreceau qui m'a donné le plus la pêche cette nuit là et que je fredonnai doucement pour ne réveiller personne,(il était quand même 1h30 du matin faut pas exagérer quand même)

dimanche 17 octobre 2010

Vous avez demandez (la) Police?

Bon, je sais c'est un peu facile comme blague (et comme titre de billet) mais je n'ai pas pu m'en empêcher!

Donc le slow qui tue de cette semaine est un slow incontournable:

Police: Every Breathe you take


The Police - Every Breath You Take
envoyé par ThePolice. - Regardez plus de clips, en HD !

Bonne écoute!

mercredi 13 octobre 2010

Le poids des secrets


Résumé: "Si j’avais affaire à quelqu’un d’autre, je tournerais les talons. Je ne me faufilerais pas sous le rideau de branches de l’acacia en baissant la tête. Je ne me raccrocherais pas à son tronc rugueux de crainte de trébucher. Je n’écarterais pas le feuillage. Je n’apercevrais pas une clairière. Et je ne découvrirais pas le secret de Jasper Jones."

Une nuit de 1965, Jasper Jones, le paria de la petite ville minière de Corrigan, le gamin à moitié aborigène, frappe à la fenêtre de Charlie Bucktin, treize ans. Il n’a confiance en personne, il a besoin d’aide, aussi Charlie accepte-t-il de le suivre jusqu’à cette jolie clairière enfouie dans le bush où l’attend une terrible découverte.
Cette nuit-là, Jasper Jones lui fait jurer de garder le silence. Mais ce secret bien trop lourd à porter pour des enfants n’est pas le seul qui lézarde la ville de Corrigan…


Mon avis: Voici un autre coup de coeur de cette rentrée littéraire. Après ma découverte du livre d'Amanda BoydenEn attendant Babylone, j'ai voulu découvrir le livre de ce jeune auteur australien, Craig Silvey.

Et ce fut une découverte totale: ma première incursion dans la littérature australienne, ma découverte de ce pays, son bush et cette petite ville minière Corrigan. C'est un roman à plusieurs facettes: c'est un roman à suspense puisqu'il commence par la découverte du corps d'une jeune fille, Laura Wishart par deux jeunes garçons qui vont vouloir découvrir qui est son assassin, mais aussi un roman "psychologique" puisque Jasper Jones demande à Charlie de garder le secret de la mort de Laura et de ne rien dire. On suit alors, le parcours intérieur de Charlie: comment il vit avec ce secret qui le ronge alors que toute la ville est à la recherche de Laura. Et surtout, il ne sait pas comment vivre avec ça et le fait de vivre sa première histoire d'amour avec Eliza, la soeur de Laura. Il a l'impression de la trahir. Mais il se rend compte qu'elle aussi lui cache quelque chose.

Il y a du Mark Twain, (cité plusieurs fois), dans ce roman, on pense à Tom Sawyer, Jasper, ce jeune aborigène, copie d'Huckleberry Finn et Jack Lionel Le Fou que les deux jeunes soupçonnent du meurtre s'apparentant à "L'Indien".

J'ai aimé suivre les aventures de Charlie. Je me suis reconnu en lui: comme lui, j'aimais me plonger dans les livres (et très jeune dans ceux de ma mère),comme lui, j'ai vécu les brimades de mes camarades de classe. Et comme lui, j'ai détesté sa mère. Je n'ai pas aimé cette femme qui commençait à faire de sa vie un vrai cauchemar car elle n'aimait plus la sienne dans cette petite ville qu'elle détestait. Ai-je été influencé par Charlie dans cette détestation? Peut être, vu ce qu'il en dit parfois:

Je lui ai fait honte, le soir où la police m'a rattrapé; ça j'en ai bien conscience. J'ai détruit la façade derrière laquelle elle s'abritait. Au diable les apparences! J'ai souillé le nom de notre famille et sa réputation avec. Depuis, les mauvaises langues se déchaînent. Les calomnies se répandent comme des fruits de pissenlit sous un coup de vent. les associations féminines et sportives dont ma mère est membre l'ont mise au ban. Je ne suis plus un fils modèle; ce qui signifie qu'elle n'était pas une mère modèle. En un sens, et tant pis si ça parait mesquin, j'en suis presque fier.

J'ai aimé la relation amicale entre Charlie et Jeffrey, le petit vietnamien fan de cricket qui se fait houspiller par les autres. Il faut dire qu'il ne fait pas bon être Viet en Australie pendant la guerre du Vietnam. Et le saccage du jardin des Lu par des gars de la ville le démontre bien.

J'ai aimé le personnage marginal de Jasper et son combat pour découvrir qui a tué celle qu'il aimait. Et ce qu'il découvrira lui fera encore plus mal.

C'est un roman plein de finesse, de tendresse mais également de cruauté et qui nous démontre le poids des secrets. Car avec la disparition de Laura, cette petite ville en apparence tranquille de Corrigan va se fissurer devant les secrets qui vont être dévoilés. Car on aura le fin mot de l'histoire sur la mort de Laura. Et c'est pas joli à voir. Et pourtant, j'avais pensé à cette hypothèse mais j'ai quand même été surpris par le dénouement de l'affaire Laura Wishart.

Un roman à découvrir qui m'a fait passer un merveilleux moment. Un coup de coeur!

Extrait: Je n'ai mis le nez dehors que le temps d'expédier quelques corvées de jardinage. Et pourtant, à ce moment là, les autres gamins recommençaient à sortir. J'ai lu un paquet de bouquins. Mes parents ne pouvaient pas m'empêcher de m'évader entre leurs pages. Celui que j'ai préféré, c'est encore Vol au dessus d'un nid de coucou. Je l'ai trouvé génial. Je l'ai d'ailleurs lu deux fois. Le personnage de McMurphy m'a beaucoup plu. Il m'a rappelé Jasper Jones. Du coup, j'ai encore plus regretté qu'il ne soit pas là. (p 209)

Craig Silvey: Le secret de Jasper Jones (Jasper Jones), Calmann-lévy, 2010, 382 pages

dimanche 10 octobre 2010

Angel

Le slow qui tue de cette semaine est une chanson magnifique qui me donne des frissons à chaque écoute.

Sarah McLachlan: Angel


Sarah McLachlan - Angel
envoyé par Biankka. - Regardez la dernière sélection musicale.

Bonne écoute!

samedi 9 octobre 2010

La Bande Originale de sa vie


Résumé: J'ai encore rêvé d'elle, La Bombe humaine, Week-
End à Rome... Comme ces couples qui parlent de " leur chanson ", Yoann pourrait dire de tous ces tubes qu'ils sont les siens. Ce ne sont pas forcément ses préférés, mais à quarante ans ces airs émergent de sa vie accidentée comme autant de notes échouées. L'enfance, les tourments de l'adolescence, les premières amours, et puis le deuil, imprévu, violent, tragique. Une existence à reconstruire avant même d'avoir commencé. Pendant des années, Yoann va chercher l'apaisement qui lui permettra enfin de réécouter le disque de sa vie.



Mon avis Les chansons rythment notre vie. Une musique, un refrain, une mélodie nous rappellent un souvenir. Les premiers souvenirs d'enfances, les boums, les jours d'école, les premiers émois amoureux, les deuils sont tous liés à une chanson. Et ça, Jean-Philippe Blondel l'a compris et s'est servi de cette constatation pour en faire la trame d'un roman. De "Let the Sunshine in" à "Danse s'y", en passant par "La Bombe Humaine", "J'ai encore rêvé d'elle" ou "In the air tonight", il raconte la vie de Yoann sur 40 ans. Du premier disque reçu par une amie de son frère en vacances quand il avait 6 ans, aux dimanches passé chez sa grand-mère (et qui m'ont rappelé des souvenirs également), aux premières boums dont celle qu'il a organisé dans une église (il fallait y penser!) jusqu'à sa vie avec Elsa qui lui donnera deux enfants.

La force de ce roman, c'est qu'on s'y retrouve tous, la vie de yoann a fait écho avec la mienne par moment. J'ai ri devant telle situation, j'ai pleuré également devant le drame que vit Yoann. On a tous connu des joies, des peines, des deuils. Et Jean-Philippe Blondel réussit à nous faire partager cette vie jusque dans le plus petit détail. C'est un monologue intérieur que Yoann partage par écrit avec nous. A 40 ans, il fait le bilan de sa première moitié de vie et il le fait en chansons. C'est également ce qui m'a attiré vers ce roman: moi qui suis fan de musique, j'ai aimé voir ces titres de chansons qui m'ont rappelé un souvenir propre. D'ailleurs, je fredonnais la chanson à chaque fois que je voyais le titre du chapitre.

Ce livre est tendre, touchant, drôle, émouvant. Comme la vie. (Et c'est encore un énorme coup de coeur. J'aime Jean-Philippe Blondel. Et je compte bien continuer à le lire. Il va devenir l'un de mes auteurs fétiches).
Pour tous ceux qui n'ont pas encore ouvert un livre de M. Blondel, il n'est pas trop tard. Faites le. Vous ne le regrettez pas. C'est un petit moment de bonheur.

Et je conclurai en lui laissant le dernier mot:

"Je regarde mon nom sur la première page.

C'est moi-et je ne suis rien sans les autres.

Sans madame Fournier qui me rend mes écritures. Sans Grégoire, Lise et Elsa qui me rendent au présent. Sans Rosy prenant sa retraite dans son Austin Mini. Sans Marie, Vincent et leurs nouvelles demeures. Sans François qui répète ses leçons en tournant dans sa chambre. Sans tous ceux qui me peuplent et qui se font frères d'armes."



Jean-Philippe Blondel: Juke Box, Pocket, 2004, 212 pages

jeudi 7 octobre 2010

Nobody


Résumé: Nobody Owens est un petit garçon parfaitement normal. Ou plutôt, il serait parfaitement normal s'il n'avait pas grandi dans un cimetière, élevé par un couple de fantômes, protégé par Silas, un être étrange ni vivant ni mort, et ami intime d'une sorcière brûlée vive autrefois. Mais quelqu'un va attirer Nobody au-delà de l'enceinte protectrice du cimetière : le meurtrier qui cherche à l'éliminer depuis qu'il est bébé. Si tu savais, Nobody, comme le monde des vivants est dangereux...

Mon avis: Je ne lis pas souvent des livres jeunesse, pensant que ce n'est plus de mon âge. Quelle erreur je fais. Grâce à Nobody Owens je suis retombé en enfance pendant quelques jours.
C'est charmant, poétique, étrange, intriguant. Nobody est un personnage attachant qui nous fait la visite de son cimetière. On s'attache à tous les personnages que ce soit Silas où les Owens, les parents adoptifs de Bod.
Le livre n'est pas linéaire, il y a des ellipses dans le temps (ce qui est normal puisque l'on découvre la vie de Bod sur ses 15 premières années) et les histoires pourraient être indépendantes. D'ailleurs, l'auteur le dit dans ses remerciements, il a commencé l'écriture de Nobody par le 4e chapitre, celui de la tombe de la sorcière.

Ce que j'ai surtout trouvé étrange, c'est qu'il y a quelques années, j'ai eu l'idée d'une histoire où l'action se déroulait dans un cimetière et où mes personnages étaient des morts comme dans Nobody. Mais bon, cela s'arrête là bien évidemment. (Et surtout je ne l'ai jamais écrite cette histoire. L'idée n'est resté qu'une idée).

Ce que j'ai bien aimé également c'est que l'auteur nous met tout de suite dans le vif du sujet et commence son roman de façon extrêmement fort, par le meurtre des parents de Nobody. Et on n'a aucune explication de cette tuerie sauf à la fin du roman. Et encore, la prophétie n'aurait pas eu lieu si les parents de Bod avaient survécu. Comme quoi.

J'ai trouvé la fin du livre très touchante. J'aurai presque eu ma petite larme à l'oeil. Comme quoi, sans le savoir, je m'étais attaché à tous ces personnages. Et la relation de Nobody et à ses parents adoptifs est très touchante.

Alors, même si je n'ai plus l'âge de lire des romans jeunesse, j'ai réussi à lâcher prise avec ce livre et suis redevenu un petit gamin (certes, j'avais deviné qui était vraiment Mr Frost bien avant que l'auteur nous le dévoile mais ce n'est qu'un détail). Et retomber en enfance, ça fait du bien parfois. Alors, si vous avez ce livre dans votre PAL, n'hésitez plus et allez découvrir illico presto l'étrange vie de Nobody Owens. Car retrouver son enfance, ça n'a pas de prix.

Neil Gaiman: L'étrange vie de Nobody Owens (The Graveyard Book), France Loisirs, 2009, 310 pages

mercredi 6 octobre 2010

Avant Katrina...


Résumé: Eté 2004 : Orchid Street est en train de changer. Ariel May et son mari juste arrivés du Minnesota essaient de prendre la mesure de leur nouvelle ville. Depuis sa véranda, Philomenia Beauregard observe ses nouveaux voisins, les Gupta, originaires d'Inde, qui emménagent dans l'une des plus grandes maisons. De l'autre côté de la rue, un adolescent noir vient de sortir de maison de correction. Plus loin, Cerise Brown espère juste finir ses jours tranquillement. Mais un incident va venir perturber le calme apparent de ce quartier et tandis que l'ouragan destructeur s'annonce au loin, de nouvelles tensions apparaissent, des relations évoluent et le destin de ces familles bascule, pour le meilleur ou pour le pire.


Mon avis: Je ne vais pas vous faire attendre longtemps: ce livre est un énorme coup de coeur. Amanda Boyden (femme de l'écrivain Joseph Boyden, auteur du "Chemin des âmes" entre autre) nous emmène dans un quartier de la Nouvelle Orleans, un an avant les évènements de Katrina pour nous raconter la vie de ses habitants. Elle décrit tellement bien cette ville et ces quartiers qu'on à l'impression d'y être. Cela m'a fait l'impression de regarder un documentaire sur la Nouvelle Orleans, on est en immersion totale.
Parmi les habitants du quartier, trois personnages se détachent: Ed Flank, père au foyer qui ne sait plus quoi faire de sa vie et qui voit sa femme lui échapper; Philomenia Beauregard, une femme qui s'occupe de son mari atteint d'un cancer et qui veut tout faire pour se faire bien voir de ses voisins, à grand coup de plats cuisinés; Daniel Harris, plus communément surnommé Fearius, jeune de 15 ans sortant d'une maison de correction et qui va se retrouver dans un gang. Il y a bien d'autres personnages comme les parents de Fearius, Ariel, la femme de Ed, directrice Générale d'un hôtel qui fantasme sur l'un de ses cuisiniers, les Gupta, nouveaux voisins indiens (venant de l'Inde), les Brown, Cerise et Roy qui vivent paisiblement leur vie.
Si je me suis focalisé sur ces trois habitants là, c'est qu'ils ont un point commun: ils ont un besoin de reconnaissance: Ed va avoir son moment de gloire quand il portera secours à Roy Brown, coincé sous son barbecue, Fearius qui cherche à s'affirmer dans le gang d'Alphonse et Philoménia qui veut à tout prix être reconnu pour ses talents de cuisinière. Mais surtout c'est trois personnages vont être le point culminant du roman qui m'a complètement soufflé et laissé sans voix.

Avec un style fort, percutant, allant à l'essentiel, Amanda Boyden nous captive avec ses vies qui n'ont pas encore connu la menace de Katrina. Elle réussit également à se fondre et à s'adapter à ses personnages en faisant corps avec eux. Je me suis senti proche de ces personnages et j'ai eu du mal à les quitter.
Ce roman à plusieurs voix nous racontent la vie de gens qui vont tout perdre dans un an. De ce fait c'est troublant de partager leur bonheurs et leurs malheurs en sachant que bientôt ils n'auront plus rien.

C'est un roman fort. C'est un bel hommage que rend Amanda Boyden à la Nouvelle Orleans, ville qu'elle a habité et qu'elle à dû quitter lors de l'ouragan Katrina. Et c'est un hommage réussi, écrit par une auteure fantastique. Une nouvelle voix de la littérature américaine qui nous raconte le destin d'une certaine amérique. Celle d'aujourd'hui.

Amanda Boyden: En attendant Babylone (Babylon Rolling), Albin Michel, 2010, 438 pages

dimanche 3 octobre 2010

Acheteur compulsif de livres....c'est grave docteur?

En ce moment, je ne sais pas ce qui m'arrive mais je n'arrête pas d'acheter des livres. Il va quand même falloir que je me calme.

Voici ce que j'ai acheté ces dernières semaines:



Malorie Blackman: La couleur de la haine: J'ai le premier tome dans ma Pal, celui là le rejoint tout naturellement.
Dostoïevski: Crime et châtiment: depuis le temps que je cherchais à lire un roman russe. C'est chose faite. En plus je l'ai eu à moitié prix.
Patrick Gale: Tableaux d'une exposition: J'ai lu, il y a peu de temps "Chronique d'un été" de cet auteur qui m'a beaucoup plu. Je voulais le retrouver à travers un autre de ses romans. En revanche, je ne trouve pas la couverture jolie. Dommage.
Arnaldur Indridason: La voix: 3e livre des enquêtes du comissaire Erlendur Sveinsson. Pour continuer l'aventure avec ce personnage que j'aime beaucoup.
Philip Kerr: La Trilogie Berlinoise: j'en entend tellement de bien depuis des mois que je pouvais plus résister bien longtemps. De plus j'aime beaucoup la seconde guerre mondiale. C'est une période qui me fascine depuis des années.
Garry Kilworth: Le temps des guerriers (les rois navigateurs tome 2: je l'ai trouvé à moitié prix. Je ne pouvais donc pas passer à côté.
Richard Price: Souvenez-vous de moi: Pour retrouver New York et le style sans concession de l'auteur de "Ville noire, ville Blanche" que j'ai beaucoup aimé.
Craig Silvey: Le secret de Jasper Jones: livre de cette rentrée trouvé à moitié prix. Il est donc logique que je me sois jeté dessus.
Scott Westerfeld: Extras: Enfin, j'ai le 4e tome de cette saga qui me nargue depuis des mois (enfin les trois tomes qui attendent dans ma pal me narguent. J'attendais ce 4e tome avec impatience. je vais enfin pouvoir commencer à la lire sans m'arrêter. Yes!
N.M. Zimmermann: Apparitions: le couloir des esprits: un livre jeunesse que je zieute depuis des semaines. Je l'ai trouvé à moitié prix dans ma librairie préférée. Voilà pourquoi il a fini dans mon cabas.

Voilà, c'est tout pour le moment. Et pour un bon moment j'espère car il faudrait que j'arrête les achats. Je n'ai plus de place chez moi à force d'entasser. j'ai une pal monstrueuse qui a dépasser les 300 volumes.
Mais, c'est dit, je n'achète plus rien jusqu'à Noël. (Plus facile à dire qu'à faire). Surtout que le mois de décembre, c'est celui de mon anniversaire. alors, je vais avoir des livres. Forcément. Et il faut que je fasse baisser un peu cette pal.

vendredi 1 octobre 2010

Endless love

J'ai choisi le slow qui tue de cette semaine pour fêter le retour de la série Glee, qui a fait parler d'elle la saison dernière. Et mon choix s'est porté sur un duo:

Diana Ross & Lionel Richie: Endless love



Quel rapport avec Glee me direz-vous: la série a repris ce duo dans la série! Et en voici la preuve, qui m'a fait rire quand je l'ai vu.



Il y a d'autres scènes du même épisode: celui où Rachel ressent des sentiments pour son prof.

Bonne écoute!