vendredi 4 septembre 2015

Les Petits meurtres d'Agatha Christie (Pension Vanilos/ Un meurtre est-il facile?)

Bon, ils sont déjà de retour, mais ne chipotons pas. C'est moi qui a du retard!)


Pension Vanilos




Revoilà notre trio de choc (ben oui, il ne faut pas oublier Marlène qui prend de plus en plus de place , (surtout dans cet épisode), (pour mon grand bonheur) dans la série et qui apporte cette dose d'humour lunaire bienvenue) dans une nouvelle enquête. 

Tout d'abord, je dois avouer que j'ai lu ce roman d'Agatha Christie mais que je n'en  ai aucun souvenir (j'ai eu ma période « Agatha Christie » ou j’enchaînais la lecture des romans, il y a quelques années. J'ai dû lire une soixantaine des romans de la reine du crime, ce qui fait que je ne peux pas retenir toutes les intrigues que Dame Agatha a mis en place) : ce qui est un point positif puisque je regarde l'épisode avec un œil neuf.

Ce « Pension Vanilos » est encore une fois, un très bel épisode avec une intrigue tortueuse, comme Dame Agatha savait en écrire (Sylvie Simon, la scénariste à su se plonger avec brio dans cet univers) : ici, nous avons à faire à une affaire  de trafic de drogue, ainsi qu'à la découverte du meurtre d'une jeune fille dans une auberge de jeunesse, tenu par la sœur de Marlène, secrétaire du commissaire. Bien entendu Alice se retrouve immergé dans cette histoire, à la demande de Marlène, qui veut tout faire pour aider sa sœur.


Je dois dire que je suis de plus en plus bluffé par Elodie Frenck, la douce Marlène, qui, cette fois ci, vole la vedette à ses deux acolytes (pisqu'elle interprète deux rôles, dans cet opus). Pourtant, le climax du milieu d'épisode, m'a fait craindre le pire. Enfin, tout cela pour dire que l'on voit Elodie Frenck sous un jour nouveau et nous dévoile une nouvelle facette de son talent.
L'humour est toujours présent et le « huis-clos » de la pension Vanilos dévoile des personnalités complexes et bizarres qui nous fait suspecter tout le monde.
Un nouvel épisode maîtrisé de bout en bout, qui rend un bel hommage, encore une fois, aux romans et intrigues de la Reine du crime. 

Un meurtre est-il facile? (à lire après avoir vu l'épisode)



Cette fois ci, c'est le monde ouvrier qui nous est montré avec la lutte des classes, ses mouvements de grève, ses directeurs arrivistes et son patron despotique. C'est dans une usine que le corps d'un syndicaliste est retrouvé. Le commissaire Laurence est alors dépêché sur place.

Surtout, Alice, notre reporter de choc va se marier  (!!) Oui, oui, Alice va se faire mettre la bague au doigt par le directeur de l'usine (ben oui, ce ne serait pas drôle si Alice ne mettait pas les pieds dans le plat de cette enquête épicée à la sauce Audiard (bien sûr on est loin des dialogues cultes de ce grand Michel, mais on reconnaît parfois sa patte).


En tout cas, j'ai encore passé un très bon moment en compagnie de ces personnages truculents. Mention spéciale tout de même a l'interprète d'Emile Deboucke (Philippe Nahon) qui donne une aura d'une méchanceté despotique a son personnage, qui en fait le coupable désigné. Mais ne serait ce pas trop facile ?  

Un épisode qui m'a ravi. 









initié par George 

2 commentaires:

  1. Comme toi, je suis fan inconditionnel de Marlène, si naïve mais si humaine, et si touchante.

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    1. A ce que je vois, tu es aussi tombé sous son charme. Eh oui, on ne peut pas rester insensible à Marlène. C'est un rayon de soleil!

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